Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (42)

Mon petit Miguel, mon torero m’a fait venir à Bayonne avec Maryline pour que je dépucelle son copain ayant réussi son alternative.
Vers huit heures comme je l’ai demandé au standard, on frappe à la porte pour nous apporter le petit déjeuner.
Nous sommes passées dans la chambre sans billet éparpillé pour éviter de choquer le personnel de l’hôtel.
Nous déjeunons. J’aide la biche à ramasser ses billets. Je les mets sur le lit.
Lorsqu’ils sont tous regroupés, nous les comptons.

• Trente-trois.
• Moi, vingt-six. Rapide calcul cinquante-neuf.

On recompte, idem.
Nous faisons des tas de dix.
Cinq de dix, un de neuf. Il en manque vraiment un.
Un quart d’heure de recherche les fesses en l’air lorsque nous cherchons sous le lit.
Introuvable.
Il faut se préparer, nous allons être en retard au départ de l’avion.
Je prends un billet dans ma liasse et lui donne.
Elle veut refuser, je l’en dissuade, ce billet perdu trouvé par une technicienne de surface sera son pourboire.
Nous sommes à l’heure à l’avion. Marie-Ange et Christine rentrent à Royan.
Nous arrivons à la villa où tout le monde nous attend.
Marie-Ange a été au téléphone avec Véronique, une partie du voyage. Elle lui a raconté nos péripéties. J’entends qu’elle lui dit qu’elle rêve de partir en mission avec elle.
Tout le monde est la même Sindy que Madeleine a été chercher pour qu’elle passe la journée avec nous.
Seule manque au groupe Fabienne.
Je m’en étonne auprès de Christian qui me dit qu’elle a été méchante et qu’il la mise dans sa niche sur la terrasse.
J’enlève mes vêtements dans la salle et passe à l’extérieur.
Ma Fabienne est couchée sur son transat.

• J’ai été puni, car j’ai désobéi à mon chéri. Je l’ai bien mérité.

Elle se redresse si belle depuis que nous l’avons transformée en femme aimante.

• Christian lève la punition que nous puissions fêter notre retour avec elle et passer à table.



Véronique et Marie-Ange sont tombées dans les bras l’une l’autre.
Libérée Fabienne me saute au cou.

Je m’assieds, elle vient sur mes genoux et me prend par le cou comme le ferait une qui souhaite être câlinée.

• Merci ma grande, tu sais, j’ai mérité d’être puni, de temps en temps, le mauvais naturel revient. J’arrive à me dominer neuf fois sur dix.
La dixième, je plonge. C’est ce qui s’est passé ce matin.
Christian m’a demandé de lui préparer une tartine au petit déjeuner.
Je lui ai dit sèchement que s’il voulait une bonne, il aille voir ailleurs, comme je le faisais avant.
Il aurait fallu que je lui parle moins sèchement. Il m’a envoyé dans ma niche et j’ai pu réfléchir qu’il y avait d’autres façons de lui parler, car je l’aime.

• C’est bien mon bébé, tu fais des progrès.
À la fin des vacances, tu verras, ta niche deviendra un vieux souvenir.
Et vos achats ?

• Au, là aussi, je dois vous remercier toi et Virginie. Nous sommes allés conduire Virginie et les petites à l’aéroport avant d’aller faire du shoping dans la ville.
Nous sommes allées jusqu’au bar, car elles étaient en avance.
Alors que nous discutions, j’ai vu une chose d’étrange, le barman a fait un signe à Virginie.
Discrètement, je l’ai vu lui tendre une enveloppe. Elle là rapidement mise dans son sac.
Elle nous a dit qu’avant de décoller, elle avait besoin d’aller aux toilettes.
J’avais besoin de m’isoler aussi, je m’y suis rendue sans pour cela la suivre.
La porte était ouverte et dans la glace, j’ai vu Virginie ouvrir l’enveloppe et en sortir ce qui ressemblait à des titres de transport et surtout une liasse de billets qui avait l’air d’être des grosses coupures.
C’est étrange non.
• Tu sais, il m’est impossible de tout te dire aujourd’hui, mais je te promets que dans les jours prochains, tu sauras tout sur ses déplacements.
Mais d’ici là, garde ce que tu as vu entre nous.

Et votre shoping ?
• Tu vas voir, je te montrerais tout après manger.

Tout en lui disant cela insidieusement j’en profite pour enfoncer ma main entre ses cuisses.
La jeune femme revêche les écarte tout à fait naturellement et me laisse fouiller son intimité, elle mouille et commence à tortiller ses fesses vers une jouissance matinale.
Son souffle qui devient de plus en plus court me montre que sa petite chatte aime mes attouchements.
Après une dernière caresse, c’est grace à nos bouches qui se trouvent plutôt retrouvent qu’elle laisse la maison dormir tranquille.

• Merci, j’avais perdu l’habitude de jouir dès le matin.
Autres choses, nous sommes passées devant l’institut pour l’épilation vaginale intégrale. Elles m’ont dit que certaines avaient rendez-vous à partir de mardi pour une épilation laser. J’ai trouvé cela formidable et nous sommes entrés prendre rendez-vous.
• Tu es contente.
• Ce n’est pas que tu te fasses épiler définitivement la chatte qui me satisfait, c’est que tu raisonnes différemment.
Poses-toi la question, avant de venir ici, aurais-tu imaginé faire le plaisir à ton homme de rendre ta vulve aussi nue que lorsque tu étais une jeune fille ?
Tu dois apprendre que la plupart d’entre eux rêvent d’une femme épilée intégralement, cela dépasse le simple phénomène de mode.

Elle me regarde avec des yeux qui me font fondre. Je l’embrasse tendrement une dernière fois avant de la libérer.
Nous passons à table, Chantal à quelque chose à nous annoncer.
Lorsque le silence se fait, se tenant dans les bras l’un de l’autre.

• Nous avons eu nos s et nos parents au téléphone.
C’est nos parents qui nous ont demandé de laisser les s qui avaient trouvé des copains, plusieurs fois ils leur ont dit qu’ils refusaient d’aller dans les Pyrénées.
Ils préfèrent rester à Mimizan jusqu’à la fin du mois d’août.
Nous avons fait, les parents déçus et avons donné notre accord.

Nous leur avons dit qu’en cas de problème, nous avons trouvé une ville qui nous plait et que nous resterons là jusqu’à notre retour en région parisienne et qu’ils pourraient à tout moment nous appeler. Si vous le voulez bien.

Tous applaudissent en guise de réponse.
Le repas se poursuit dans la bonne humeur.
De temps en temps, nous pouvons apercevoir des voisins butiner la voisine, les voisines se bécoter entre elles.
Pendant que le groupe remet tous en état, je monte défaire ma valise et voir les affaires achetées par les filles à notre amie.
Rien à voir avec les tenues qu’elle portait lorsqu’elle est arrivée.
Short ras de la minette. Chemisier plongeant.
Mini jupe avec débardeur.
Plus de soutien lolo et autres culottes de stylent petit navire.
Tous est sexy, rien que du sexy.
Les chaussures à talons hauts, complètent l’ensemble des achats qu’elles ont effectués.
Pour me remercier Fabienne me prends dans ses bras et plonge sa langue dans ma bouche.
Nous tombons sur le lit et rapidement je cherche sa féminité. Son clitoris réagit dès que je le sollicite. Elle se pâme sous mes coups de langue.
À quelques minutes d’intervalle ma chatte participe à la fête, nous nous aimons.
Je veux lui faire connaître ce qui m’a donné le plus de plaisir depuis que j’ai accepté de jetées mais préjugé à la poubelle.
J’accole trois de mes doigts et les présentes à sa fente.
Elle se tortille sur le lit, ce qui a pour effet de les faire entrer plus profondément en elle.

• Tu veux me rentrer ta main dans le vagin amour.
• Pourquoi tu aimerais ?
• À Paris, j’ai reçu un mail que j’ai ouvert sans savoir ce qu’il contenait.
Un petit écran et un triangle en son centre.
Pourquoi ai-je placé la souris sur cette croix et que j’ai cliquée.
Une petite vidéo a démarré. Deux femmes étaient sur un lit comme nous en ce moment, l’une a fait comme toi et a entièrement enfoncé sa main dans sa compagne.

Elle avait l’air d’aimer, mais j’ai eu un mouvement de recul me disant, comment je pourrais accepter cela.
• Fabienne, tu es mon esclave, dois-je aller chercher la laisse ?
• Non-amour, j’ai promis d’arrêter de vous contrarier, mais comprends que j’aille un peu peur.
• Si c’est moi qui t’enfile ma main, tu me dirais non ?
• Demandé par toi comment hésiter.
Je sais que tu vas éviter de me faire mal mais plutôt me donner du plaisir.
• Tu ne crains rien, pour tous te dire, je le fais de temps en temps avec ma petite Anne, c’est elle qui m’a appris à le faire.
• Alors vas-y !
• Surtout, évite de te crisper. Je commence.

Elle s’allonge sur le dos et écarte ses cuisses. Sa chatte est sans aucun poil depuis le traitement que lui a prodigué Odile.
Que ta fente est belle, toute nue.

• Tu es prête, je commence.

Je lui remets trois doigts dans la vulve et commence à tourner dans un sens puis dans l’autre, ma main progresse en écartant ses lèvres intimes.

• Ça va.
• Oui, c’est étrange comme sensation, j’ai l’impression d’accoucher à l’enverssssss.
Tu vois je jouisssssss. Aaaa
• Je peux continuer.
• Continue, Aaaaa.

Je suis déjà entré avec mes cinq doigts et j’arrive à la partie épaisse de mon poignet.
Je tourne encore, ça pénètre. Puis d’un coup tout entre.
Ce dernier mouvement assez rapide fait hurler Fabienne.
Hurler, mais de plaisir. Elle est en eau. La sueur suinte de tous ses ports.

• Comment te sens-tu ?
• C’est étrange ta main est au fond du vagin, je la vois sortir de moi comme si tuuuuu. Ouha t’a bougé et ça me fait des décharges électriquesss dans le ventreeee.
• Tu es prête, je vais te donner la plénitude de notre amour.

J’ouvre ma main. Là où d’autres dont moi ont tourné de l’œil.
Elle me regarde.

• Je t’aime.

Et elle jouit…






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